La forme en -nai

Petit récapitulatif pour sa formation

A) Les verbes ichidan

On remplace ru par “nai”

exemple : taberu => tabenai


B) Les verbes godan

Pour les verbes godan, c’est un peu plus dur. Il faut changer la terminaison du verbe en mettant la syllabe correspondante à la colonne des “a” dans le tableau d’hiragana et ajouter nai. Pour le passé, c’est la même règle que pour les ichidan, on remplace nai par nakatta.

isoGU => isoGAnai

asoBU => asoBAnai

kaTSU => kaTAnai

cas particulier : lorsque la syllabe finale est U, on n’utilise pas A mais WA.

exemple : kaU => kaWAnai

Maintenant, voyons ses utilisations principales :


A) La négation

J’en ai déja parlé auparavant : la forme en nai est l’équivalent neutre de la forme polie “masen”

exemple : tabemasen => tabenai


B) L’obligation

Pour indiquer l’obligation, le devoir, on utilise la forme en nai, à laquelle on ôte le i finale puis l’on rajoute “kereba narimasen”.

hayaku okinakereba narimasen

Je dois me lever tôt

kono hon o yomanakereba narimasen

Il faut que je lise ce livre


C) La non-obligation

Pour l’absence d’obligation, on utilise la forme “nakute mo ii desu”.

watashi ni iwanakutemo ii desu

Vous n’êtes pas obligé de me le dire

isoganakutemo ii desu

Ce n’est pas la peine de vous dépêcher


D) La demande négative

L’équivalent négatif de la forme en “te kudasai” vu dans un chapitre précédent est “naide kudasai”.

koko de suwanaide kudasai

Ne fumez pas ici, s’il vous plait

wasurenaide kudasai

N’oubliez pas, s’il vous plait


icon Auteur: Bloodbrother

6 Réponse à “La forme en -nai”

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