Le Japon est le pays des hommes pressés et du manque de place. Du coup on croise parfois des restaurants dans lesquels il n’y a même pas de sièges pour s’asseoir. Souvent on y mange des nouilles soba ou udon. Le service est hyper rapide pour que les salarymen puissent faire le plein d’énergie en quelques minutes entre deux rendez-vous ou en attendant leur train.
C’est une façon comme une autre de faire sa pub, le magazine Sneaker Freaker lance l’idée d’une assurance permettant de se faire rembourser ses chaussures si l’on marche dans une crotte de chien qui laisse une trace de plus de 5cm² sur sa semelle.
Pour l’instant ce n’est qu’un projet qui verra le jour uniquement si 100’000 personnes aiment l’idée. Au Japon je ne vois pas bien l’intérêt car les rues sont très propres mais dans certaines villes d’autres pays ça pourrait être utile. La façon dont ce projet loufoque est présenté en vidéo est plutôt sympa:
La semaine dernière je vous ai parlé de Pet Plus, une animalerie qui se trouve dans le centre commercial Aqua City situé à Odaiba. À côté de Cat Plus se trouve l’espace Small Animals consacré aux animaux de compagnie à l’exception des chiens et des chats.
À l’intérieur j’y ai vu un truc “horrible”. Des lapins géants! Un “Flemish Giant”, en français un “Géant des Flandres” (merci Wikipédia), qui vient de Belgique donc. Et aussi un “Checkered Giant”, en français un “Géant papillon français” (merci encore Wikipédia), qui est donc une race de lapin française. C’est marrant de partir à l’autre bout du monde pour découvrir des choses qui viennent de son pays.
Bref ce sont des animaux énormes, impressionnants à voir. Surtout le premier qui mesure 40 centimètres et pèse entre 8kg et 12kg (selon sa fiche descriptive). Et le prix est impressionnant aussi (ça se vend au poids?): ¥98 000 (980€)
Vous allez encore entendre parler de Pet Plus et d’autres animaleries japonaises car on y trouve pas mal de choses étonnantes.
Je vous parle de temps en temps de l’étonnante animalerie Pet Plus où l’on trouve un tas de trucs intéressants. La chose la plus extrême là-bas c’est peut-être Kitchen Plus, un pâtissier-traiteur pour les chiens. Connaissant l’amour des Japonais pour les chiens on n’est qu’à moitié étonné de voir des magasins comme ça, mais tout de même, des gâteaux d’anniversaire pour les chiens en vitrine, c’est bizarre. Et le pire c’est que ça a l’air super bon!
Bonne Saint Valentin à tous, j’espère que vous avez reçu plein de chocolats et de lettres d’amour parfumées.
Aujourd’hui certains hommes japonais ont eu la surprise de recevoir des chocolats un peu particuliers. En effet il y a peu de temps le Fab Café a lancé un concept original. En alliant la technologie de l’impression 3D au délicieux support qu’est le chocolat, la compagnie propose de faire des moules à chocolat sur mesure d’après les traits du visage de ses clients.
Pour ce cadeau original il faut compter ¥6 000 soit une cinquantaine d’euros.
via Japan Addiction
Je continue ma petite série sur les cimetières japonais avec cette fois quelques découvertes étonnantes.
Sexe, Alcool, Tabac, Hello Kitty. Les cimetières japonais sont très calmes et bien entretenus mais ça n’est pas pour cela qu’ils sont impermeables aux vices du monde de vivants. Il ne manque qu’une machine à sous ou un pachinko dans un coin pour compléter le tableau.
Ah le kimono japonais! La tradition, la pureté, le soucis du détail, et la multitude de couches de vêtements et ceintures qui le compose empêchant les femmes de se déplacer en courant ou même d’utiliser des toilettes avec aisance. Et oui, ça n’est pas facile d’aller aux toilettes avec un kimono, surtout lorsque vous arrivez à l’âge auquel on aime porter des sous-vêtements qui remontent jusqu’au nombril. Dans ce cas impossible d’utiliser une culotte traditionnelle, ça voudrait dire défaire toutes les ceintures qui la recouvre et donc enlever son kimono à chaque fois que l’on veut faire un besoin. Mais au Japon pas de problèmes, que des solutions. Il existe des culottes spéciales pour porter sous les habits traditionnels. Des culottes fendues en deux d’avant en arrière (comme quoi ça n’est pas toujours un objet érotique).
Et si vous n’êtes pas convaincu par ce premier modèle vous pouvez essayer celui avec la bande velcro sur le devant qui ouvre une “trappe à pipi”.
Le comble pour un chien: porter des chaussettes avec un chat dessus.
Je n’ai encore jamais vu ça dans les rues de Tokyo mais sur le net on entend parler d’un phénomène nouveau au Japon depuis quelques semaines: faire de la pub sur les cuisses des jeunes filles. Il fallait y penser.
Vous trouverez toutes les infos sur le site officiel http://www.zettaipr.com/. En gros pour participer il faut avoir plus de 18 ans, et la rémunération varie de ¥1 000 à ¥10 000 par jour (entre 8,3€ et 83€). Les jeunes filles doivent aussi partager des photos de la publicité sur les réseaux sociaux. Du coup on va voir de plus en plus de photos de cuisses de Japonaises sur le web, mais cette fois avec de la pub dessus. Vous pouvez déjà en voir pas mal sur la page Facebook de l’entreprise à l’origine du concept.
On a déjà vu plusieurs fois que des équipes de chercheurs japonais travaillaient sur différentes façons de transmettre des émotions à distance ou de les passer du monde virtuel au monde réel (ici et là). Suivant le même état d’esprit des étudiants japonais de l’Univertité d’électro-communication à Tokyo ont développé un appareil à embrasser.
La machine se présente sous la forme d’une boîte de laquelle sort un bâtonnet motorisé reproduisant les mouvements d’une langue pour simuler un baiser. L’engin peut être actionné par un programme informatique ou par une autre personne munie du même appareil. Ainsi l’appareil peut servir pour s’embrasser à distance mais on pourrait aussi l’imaginer faire son entrée dans le monde des jeux vidéo, surtout étant donné la popularité des simulations de drague au Japon. Après tout il existe bien des jeux vidéo reliés à des machines à masturber (vus ici).
