Culotte Hello Kitty
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Culotte Hello Kitty

Une image trouvée via Google alors que je cherchais une photo pour illustrer l’article précédent. La culotte Hello Kitty pour adulte. Pour le fan jusque-boutiste.

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Les dessous du kimono
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Les dessous du kimono

Ah le kimono japonais! La tradition, la pureté, le soucis du détail, et la multitude de couches de vêtements et ceintures qui le compose empêchant les femmes de se déplacer en courant ou même d’utiliser des toilettes avec aisance. Et oui, ça n’est pas facile d’aller aux toilettes avec un kimono, surtout lorsque vous arrivez à l’âge auquel on aime porter des sous-vêtements qui remontent jusqu’au nombril. Dans ce cas impossible d’utiliser une culotte traditionnelle, ça voudrait dire défaire toutes les ceintures qui la recouvre et donc enlever son kimono à chaque fois que l’on veut faire un besoin. Mais au Japon pas de problèmes, que des solutions. Il existe des culottes spéciales pour porter sous les habits traditionnels. Des culottes fendues en deux d’avant en arrière (comme quoi ça n’est pas toujours un objet érotique).

Et si vous n’êtes pas convaincu par ce premier modèle vous pouvez essayer celui avec la bande velcro sur le devant qui ouvre une “trappe à pipi”.

Le protège-slip qui réchauffe
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Le protège-slip qui réchauffe

Pour vous mesdames. Pour lutter contre le froid cette hiver pensez à la solution “protège-slip qui réchauffe”. Cet article surprenant est en vente au Japon pour une vingtaine d’euros.

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Photo du jour: Distributeurs de culottes usagées
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Photo du jour: Distributeurs de culottes usagées

Vous avez déjà vu un truc plus pervers? Je croyais que les distributeurs de petites culottes usagées avaient été interdits il y a quelques années au Japon mais apparemment ça n’est pas le cas puisque j’en ai vu trois il y a quelques jours dans le plus grand sex shop d’Akihabara, Pop Life Department m’s. Ils sont vendus ¥1 000 pièce (environ 10€) dans des distributeurs de type “Gachapon”, et il y a plusieurs “séries”.

Les “Loli Panties” ou “culottes de jeunes filles”, les “Seiri Panties” ou, ne lisez pas la suite c’est dégueulasse, les “culottes menstruation”, et encore les “Nugitate Shiyouzumi Panties”, ou les “culottes usagées que l’on vient juste d’enlever”.

Vous pouvez voir sur la seconde photo que ça a l’air de se vendre plutôt bien, le panier pour récupérer les boîtes vides déborde.

Le détail qui tue: sur les distributeurs vous avez la date de “fraîcheur” des culottes. Ici les distributeurs avaient été remplis le 27 juillet et on était le 30. Pays de fous.

Des clubs pour voir la culotte des écolières
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Des clubs pour voir la culotte des écolières

Si dimanche dernier je vous ai montré quelques photos d’écolières japonaises en jupe courte c’était pour vous préparer psychologiquement à cet article. Attendez-vous à un bon gros WTF Made in Japan dans la lignée de Soine-ya, des distributeurs de culottes usagées, ou encore des Love Dolls.

C’est sur le site Rocket News 24 que j’ai découvert l’existence au Japon des “High School Girl Viewing Clubs”, des établissements où l’on paye pour pouvoir voir ce qui se cache sous la jupe des écolières japonaises. Toutes les infos et les photos de cet article proviennent de Rocket News 24.

Le concept des High School Girl Viewing Clubs est très simple. Des jeunes et jolies filles en uniforme de lycéenne sont regroupées dans une grande pièce entourée de glaces sans tain. Les filles ne peuvent pas voir ce qui se passe en dehors de la pièce, mais de l’autre côté des miroirs les observateurs qui ont payé ne loupent pas une miette de ce qui se passe à l’intérieur.

Chaque fille porte sur elle un badge avec un numéro. Lorsque l’un des clients appelle un numéro (et paye un supplément), la fille correspondante est priée de venir s’asseoir devant le miroir de la personne. Seul dans une petite cabine, le client peut alors observer à loisir la jeune fille qui prend des poses sexy et expose ses sous-vêtements. Les photos par contre sont interdites et on doit même déposer son portable à l’entrée.

L’entrée dans ce genre de club coûte ¥3 000 (28€), ce à quoi il faut rajouter ¥2 000 à chaque fois que l’on appelle une écolière. La fille, elle, est payée ¥1 000 de l’heure, plus ¥1 000 à chaque déplacement. C’est plutôt bien payé pour rester assise à jouer avec son portable ou à se maquiller, mais bien sûr ce genre d’établissement frôle de très près l’illégalité, voire la côtoie. Apparemment la police a déjà fermé des clubs de ce genre et arrêté des propriétaires d’établissement qui violent les lois sur le travail des mineurs au Japon, mais ça n’a pas l’air d’empêcher le développement de ces endroits.

Alors évidemment toutes les filles ne sont pas des lycéennes, n’importe quelle fille de plus de 18 ans peut enfiler un uniforme et aura l’air d’en avoir 16, mais de vraies lycéennes sont apparemment embauchées dans la majorité des cas.